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11 septembre 2018

Victime de la mode

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Inspiré par Iris Apfel !

J’adore la mode, j’ai même hésité à m’inscrire en école pour passer un diplôme, mais j’ai finalement opté pour des cours du soir à ESMOD Istanbul, en 2014, à mon arrivée là-bas. Au programme : Fashion Design et cours de création de patrons ! Suite à cela, j’ai commencé à dessiner mes personnages en utilisant ce que j’avais appris sur le dessin de silhouettes, j’ai pu réaliser mes premières vignettes humoristiques et ai créé mon premier blog.

C’est un peu comme cela que ma reconversion a commencé !


10 septembre 2018

Guide de survie de la rentrée

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Le mois de septembre est arrivé ! Il signe pour tous la fin des vacances et de l’été, le temps où tout fonctionnait au ralenti, avec moins de stress et plus de légèreté. Eh oui, finies les tongs, les grasses matinées et les longues soirées aux couchers de soleil tardifs, il va falloir reprendre le rythme, affronter les foules revenues de congé pour s’agglutiner jusqu’à l’étouffement dans les transports en commun, recommencer à supporter votre chef certes bronzé mais toujours sur votre dos, et surtout, affronter la rentrée scolaire et ses cohortes d’obligations… Dur, dur ?

Pas forcément ! Si vous vous demandez comment vous allez pouvoir survivre aux prochaines semaines, où vous serez davantage sous pression qu’un pilote de 747 aux réacteurs en feu, voici quelques conseils assez faciles à mettre en application pour en sortir grandi.e.

Mettez du piment dans l’achat des fournitures scolaires

Gros écueil de la rentrée, l’achat des fournitures est une des causes les plus fréquentes de pétage de plombs. Vous savez que vous auriez dû vous y prendre avant, mais c’est trop tard, vous êtes piégé.e dans une grande surface bourrée de familles désorientées, armées de listes longues comme le bras que les profs semblent avoir pris un plaisir sadique à diversifier à l’extrême (qu’on vous explique la différence d’utilisation entre un cahier avec ou sans spirales ? Entre la colle liquide ou en bâton ? Avez-vous jamais complété un cahier de 250 pages quand vous étiez au collège ? Vraiment ?).

Eh bien, il ne tient qu’a vous de ne pas suivre cette liste : écoutez vos instincts, instillez un esprit de rébellion à votre enfant certes mortifié mais qui vous en sera reconnaissant plus tard.

 

 

Caroline Gaujour

Révolutionnez le trajet en transports en commun

Au mois de septembre, le métro (alias bus, tram, RER, TER…) redevient un microcosme moite, bondé et morose. Difficile de croire qu’il y a deux semaines à peine, vous pouviez CHOISIR librement votre place en papillonnant dans les rames à peines encombrées par quelques innocents touristes qui se payaient le luxe d’être souriants. Il vous faut à nouveau jouer des coudes, et encastrer votre corps dans un espace cruellement surchargé, en prétendant comme vos congénères que vous n’êtes pas tous coincés dans une proximité obscène.

Fatalité ? Je ne crois pas. Si vous parvenez à vous cramponner à une barre et à votre courage, essayez de réaliser la chorégraphie de l’été apprise au camping avec vos enfants, à grands renforts de battements de jambes. Ce comportement imprévu ne manquera pas d’effrayer les autres, qui, doutant de votre santé mentale, seront tentés de s’éloigner de vous un maximum. Encore plus efficace – et nettement plus classe – que de vomir dans la rame après une soirée.

Caroline Gaujour

Faites de la résistance au boulot

Vous êtes certes obligé.e d’y retourner, mais pas de suivre le troupeau. Profitez du commencement de cette année scolaire pour affirmer votre différence et votre esprit rebelle (voir « Achat de fournitures scolaires »). Premièrement, refusez les codes vestimentaires : rien de tel, pour infuser une ambiance vacancière, que de s’habiller comme si vous étiez encore à Palavas-Les-Flots, un jour de marché. Si vous êtes pro, cela ne nuira pas à votre crédibilité, bien au contraire : avez-vous déjà vu Steve Jobs ou Mark Zuckerberg en costard ? Deuxièmement, distillez les enseignements de cet été en réunion budgétaire : vous avez lu des livres sur l’Eloge de la Décroissance, c’est le moment d’aborder le sujet ! Si vous parvenez à faire fixer des objectifs de ventes négatifs à votre équipe, elle ne vous en sera que plus reconnaissante.

Caroline Gaujour

Créez votre propre thérapie cognitive pour combattre la dépression qui guette

Le principe est simple : il suffit de faire croire à votre cerveau que vous êtes TOUJOURS en vacances. Car après tout, qu’est-ce que la réalité ? Un simple point de vue, une projection de votre esprit ! Si vous vous répétez comme un mantra que vous êtes encore au soleil, enfilez votre maillot de bain pour prendre votre douche, mettez de la crème solaire au mépris de la pluie, et vous entourez de photos et de musiques de l’été passé, à contre-courant de toutes les tendances, vous créerez un environnement propice à un sentiment de calme et de zénitude tels que vous les avez expérimentés cet été… Ne reste plus qu’à acheter une cigale sur E-Bay et la glisser dans votre sac à main… Le tour est joué !

Caroline Gaujour

Et quoi qu’il en soit, rappelez-vous toujours qu’il existe un avantage certain à la rentrée : vos enfants retournent à l’école ! Car même si vous avez vraiment aimé passer des vacances avec eux, vous êtes soulagé.e que l’épineuse question de les occuper et de les faire garder quand vous étiez au boulot (parfois réglée en les laissant végéter devant Bob l’éponge) ne se pose plus pour les mois à venir.

Caroline Gaujour

 

Alors, souriez, on est en septembre !

Retrouvez tous mes articles sur le Huffington Post !


8 juillet 2018

Belle en maillot, le calvaire ?

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Cette semaine, en prévision des grandes vacances, j’ai été m’acheter un maillot de bain.

Je dois avouer que cette perspective n’est pas mon moment de l’année préféré (mon abonnement à la salle de sport inutilisé, je l’ai regretté au premier coup d’œil dans la glace de la cabine d’essayage). J’ai réalisé que même si je faisais du jogging et mangeais uniquement des haricots verts tous les jours pendant la semaine qu’il me reste avant de partir, il serait trop tard pour arriver à l’objectif du corps sinon fantastique mais du moins acceptable que je m’étais fixé au Nouvel An à l’heure des bonnes résolutions.

C’est que pour être prête pour la plage, je ressens comme beaucoup de femmes une certaine pression…

Les standards irréalisables dont nous sommes bombardées en permanence, dans les magazines et les publicités, placent la barre très haut ! Tenez, juste pour le mettre, ce fameux maillot, il faut répondre à un nombre d’exigences tel, que même les mannequins, dont on retouche les photos, n’y parviennent pas. La minceur n’étant pas un des moindres canons de beauté mis en avant dans notre société…

Caroline Gaujour

Cependant les contraintes imposées au corps féminin ne s’arrêtent pas au contrôle de son poids…

Pour pouvoir se glisser dans un bikini, il faut passer par une série d’épreuves dignes des travaux d’Hercule. Être fine ne suffit plus, il faut aussi avoir des muscles galbés et des cuisses sans capitons (challenge, là encore, car 90% des femmes en ont !). Moi, j’ai l’impression que tous ces complexes qu’on me refile et que j’essaie en vain de gommer à coups de rouler-palper et autres massages lymphatiques font bien marcher l’industrie cosmétique, mais cela ne m’empêche pas de regarder mes fesses restées grumeleuses d’un air circonspect.

Caroline Gaujour

Et cela ne s’arrête pas là ! Un corps acceptable est aussi un corps… sans poils ! Le corps féminin « idéal » est aussi imberbe. Cela ne date pas d’hier, ni de notre civilisation, puisqu’en fait les égyptiennes et les romaines s’épilaient déjà. Problème : un poil, c’est dur à éliminer (c’est tenace. Ça repousse !). Tout un tas de techniques, plus ou moins effectives, ont été inventées pour s’en débarrasser – techniques dont certaines devraient être interdites par la convention de Genève.

Caroline Gaujour

Je ne mentionne même pas le fait qu’il faille aussi être manucurée et pédicurée – dans une couleur tendance, s’il-vous-plait.

Enfin, puisqu’on parle de tendance, il faudra enfin se garder d’enfiler n’importe quel maillot de bain. Toute une floppée de magazines sont là pour nous guider dans nos choix, en fonction de notre morphologie, de notre âge, de notre destination, de notre signe du zodiaque et de notre groupe sanguin. Malheur au fashion faux-pas. On le sait, il faut être « magnifaïque ».

Caroline Gaujour

Bref, être belle en maillot, cela demande tellement d’efforts, d’investissement et parfois de souffrance – comme dans « épilation à la cire » ou bien « cours de CrossFit » – que je me demande comment il est possible que, comme tant de femmes, je continue à jouer le jeu.

 

Car ce qui est troublant dans toute cette histoire, c’est que personne ne me force à me plier aux canons de beauté actuels…

Je m’y soumets de mon plein gré, même si je sais qu’au fond, cela reste un peu vain et ne me rend pas plus heureuse, bien au contraire ! Me regarder dans la glace en constatant que je suis loin de l’idéal que je me suis représenté, et être consciente qu’avec le temps, cet idéal m’échappera de plus en plus, est une expérience dévalorisante et même douloureuse. Alors pourquoi est-ce que j’accepte quand même de la subir ? Ne serait-il de m’accepter telle que je suis ?

Si je ne le fais pas, c’est sûrement parce que je me sens en danger. Celui de ne plus être intégrée si je ne colle plus à la norme, dans une société pour laquelle l’apparence n’est plus seulement un gage esthétique mais aussi moral (les valeurs associées à la minceur, par exemple, sont positives, quand celles associées au surpoids sont au contraire négatives).

Alors que faire ? Brûler son soutien-gorge ? Avoir du poil aux jambes pour montrer sa résistance aux diktats ? Peut-être essayer de poser un regard bienveillant sur soi et sur les autres… et transmettre ce message à nos filles :

Caroline Gaujour

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30 juin 2018

Le top 5 des choses qui changent quand vous devenez parent !

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C’est la phrase que vous avez entendue cent mille fois avant de devenir parents, au cours de la grossesse, au point provoquer en vous l’exaspération la plus incontrôlable… « Vous allez voir, les enfants… ça change la vie ! »

Selon les interlocuteurs, elle était délivrée soit avec un petit sourire en coin (à la pensée que votre innocence de futur parent allait bientôt être mise à l’épreuve du principe de réalité), soit avec un soupir à la fois résigné et fatigué (celui de jeunes parents encore sous le choc de l’arrivée dans leur vie d’un ouragan en couches culottes).

Mais vous vous contentiez de hausser les épaules parce que (1) votre mère vous répétait aussi les mêmes phrases en boucle et que vous aviez fini par apprendre à les ignorer et que (2) à ce stade, ce type de conseil ne vous était d’aucune utilité – car à part rendre le gosse, aucune échappatoire ne vous était possible, de toutes façons. Vous avez donc innocemment continué à attendre votre enfant, à coups de peinture sur les murs de la nurserie et d’achats de vêtements dont la petitesse vous émerveillait.

Et puis voilà… bébé est arrivé, il s’est installé, et depuis son premier jour, tout a changé !

Vous n’auriez jamais pensé que vous auriez envie de dormir à 20h

Pour vous, avant, les personnes qui se couchaient tôt avaient moins de 12 ans ou alors plus de 70.  Votre soirée, c’était votre deuxième journée après le boulot, un moment de fun et de détente pendant lequel vous profitiez en couple/entre amis/à l’extérieur. Une fois les enfants arrivés, votre niveau d’énergie ne vous permet plus de rester éveillé assez longtemps pour lire plus d’une page de votre bouquin chaque soir. Résultat : il vous a fallu 6 mois pour terminer Fifty Shades of Grey.

Vos sujets de conversation sont en pleine régression

Dès sa naissance, votre enfant devient le centre de votre vie – c’est-à-dire, le centre galactique de tout l’univers. Son arrivée change vos habitudes, votre sommeil, votre déco, et même votre mode de pensée. Vous vous imaginez même qu’il intéresse LES AUTRES, qui font semblant de s’extasier sur les photos de votre môme en train de faire du toboggan au parc. Vous ne parlez plus que de lui, de ses progrès (il marche !), de ses problèmes (il est tombé !). Et comme une vie d’enfant, c’est passionnant, mais relativement basique, votre conversation devient un peu… terre-à-terre…

 

Votre régime alimentaire s’est simplifié et tire sur le jaune (jaune patate, pour être précise)

Finis les petits plats exotiques, vous devez maintenant vous adapter au palais de vos petits anges. Vous avez bien essayé de leur faire goûter de nouvelles saveurs, mais il semble que vers leurs 2 ans, cela soit devenu compliqué, voire impossible. Alors, pour vous simplifier la vie et vous éviter des crises familiales mémorables faites d’assiettes en plastique renversées et de colères mémorables, vous avez opté pour le régime riz-pomme de terre-pâtes. Mais bon, comme le disait le sorcier Dumbledore : « Le chemin le plus facile n’est pas forcément le bon chemin. » Il n’est pas sûr que cette stratégie paie sur le long terme, mais pour l’instant, vous faites ce que vous pouvez : survivre aux repas.

Vous ne savez pas si courir après vos enfants fait de vous une personne physiquement active…

Est-ce que porter des kilos de sacs remplis de couches et de biberons compte pour de la musculation ? Se lever 20 fois d’affilée de sa chaise pour faire le service à table, pour une séance de Pilates ? Vous l’espérez secrètement, parce qu’à part ça, vous n’avez plus tellement le temps de vous consacrer à vos activités sportives préférées. Et comme vous êtes au régime riz-pomme de terre-pâtes… votre balance vous crie des messages que vous ne voulez pas entendre.

Vous avez constaté que faire l’amour, c’est devenu plus rare qu’une éclipse solaire

Intimité rime avec spontanéité. Mais ne rime bizarrement pas avec parentalité. C’est normal : vous n’avez plus une minute à vous, vos enfants sont devenus votre priorité, vous devez assurer dans tous les domaines, sur tous les fronts, en permanence ! Trouver un peu de temps pour vous est déjà un challenge, alors ne parlons pas de passer du temps en couple…

Malgré tout cela, la vie de famille semble valoir la peine d’être vécue. La preuve : les gens qui ont un enfant souvent récidivent – alors que, la deuxième fois, ils ne peuvent pas dire qu’ils n’étaient pas prévenus. Et la seconde phrase la plus entendue par les jeunes parents est : « Profitez-en, ça ne dure pas ! »

Alors, malgré les nuits interrompues, les repas catastrophiques, la fatigue, les désaccords parentaux, le bazar quotidien, oui, on en profite, avant l’après qui viendra nous rappeler qu’on n’en a jamais assez profité.

 

Retrouvez mes articles sur le Huffington Post !

 


26 juin 2018

Collaboration avec le Huffington Post !

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Voici mon premier article pour le Huffington Post en temps que blogueuse et illustratrice !

Le sujet : la vie avant/après les enfants… Un extrait ici :

La suite ici !


8 mai 2018

Je fais tout !

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A l’heure des débats sur l’égalité hommes/femmes se pose souvent la question du partage des tâches à la maison (et oui, si tout le monde travaille hors de la maison, pas de raison que ça ne soit pas pareil quand on rentre, pas vrai ?).

Il faut bien l’avouer, c’est souvent les nanas qui en font le plus… surtout quand on parle de ménage et de repassage. Apparemment (enfin, selon de sérieuses études), les pères s’impliquent de plus en plus à la maison, mais c’est surtout dans l’éducation des enfants et pas tellement dans le partage des travaux domestiques – c’est normal en même temps, c’est TELLEMENT épanouissant, hein, la vaisselle, le récurage de toilettes et le tri de chaussettes dépareillées… nous les femmes, on adore (rire sarcastique).

Cependant, à la décharge de la gent masculine, j’ai remarqué un truc : nous les filles, nous avons tendance 1) à ne pas demander d’aide et 2) à vouloir que les choses soient faites A NOTRE MANIERE. Je m’explique…

Il est assez évident que le ménage, ça doit être fait. Vous vous en rendez compte. Vous aimeriez bien que votre mec s’en rende compte aussi, sans que vous ayez à le lui dire. Alors, du coup, au lieu de le lui faire remarquer – dites-vous bien qu’il n’a peut-être pas la même marge de tolérance que vous lorsqu’il s’agit de propreté – vous faites le boulot, et vous vous plaignez une fois que c’est fini. Lui, il ne comprend pas pourquoi vous faites la gueule (il se peut même qu’il vous sorte l’intolérable « mais t’avais-ka-pas-le-faire-c’était-pas-la-peine »). Une chose que j’ai apprise en 10 ans de mariage, c’est que les hommes ne comprennent pas les messages subliminaux du genre « regard qui tue en coin » « allusion à sa mère qui faisait tout pour lui ». Il faut dire les choses clairement, avec une phrase sujet-verbe-complément, si possible délivrée sur un ton gentil (sinon, il stresse). Et vous verrez, la plupart du temps, ce mode de communication, qui a fait ses preuves avec la plupart des autres êtres humains que vous connaissez, fonctionne !

La seconde chose, c’est que s’il vous aide, et surtout, s’il en a pris l’initiative (situation déroutante mais bien possible!), ça ne sert à rien d’être derrière son épaule à contrôler tout ce qu’il fait ! Ok, il fait la cuisine et vous laisse un champ de bataille avec de la sauce sur les murs, ok, les enfants sont habillés pas très raccort avec le climat ou l’occasion, mais finalement, on s’en fout (better done than perfect) ! Si vous ne le laissez pas faire, il y a de fortes chances pour qu’il lâche l’éponge : tâche rébarbative + personne qui te saoûle en arrière plan = échec assuré.

 

 


13 décembre 2017

Vous détestez Star Wars ?

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Et cette semaine, vous allez devoir affronter le déferlement médiatique de Star Wars avec une indifférence tintée d’amusement – vous vous sentez parfois légèrement embarrassé(e) pour vos amis fans de la saga interstellaire.

Moi, je fais partie de ceux qui ont été biberonnés aux premiers films et qui les adoraient.

Je les connaissais même par coeur, ce qui ne manquait pas d’effrayer les gens qui regardaient les films avec moi – traduction : ceux que j’avais forcé à découvrir la saga à force de supplications, afin de les faire entrer dans mon trip. Mes potes ressortaient du visionnage souvent peu convaincus par le film, et inquiets pour ma santé mentale. Mais bon, j’assume…

Je serai donc de ceux qui alimenteront les files d’attentes des salles de cinéma en ce mois de décembre.

Et ce, avec l’infime espoir de revivre l’émerveillement de mon enfance (jusqu’ici, aucun des nouveaux films n’a pu le ranimer). Dans le pire des cas, une soirée DVD en compagnie de Han, Luke et Leia à leurs débuts, me permettra de replonger dans la nostalgie, au temps où les films d’action ne comportaient pas 15 explosions à la minute, où les combats étaient encore intelligibles, et où Alec Guinness arpentait encore les écrans, avec noblesse et lenteur.

Au temps où j’avais sept ans, toujours une histoire en tête et l’envie de vivre des aventures extraordinaires – cette petite fille là, c’est un peu elle qui écrit et dessine pour vous… Elle n’est pas devenue la Princesse Leia, mais finalement, sa vie d’aventure, elle la réalise un peu chaque jour !

May the Force be with you !!!!

 

N’oubliez pas de « liker » ma Page Facebook pour me suivre, et permettre que d’autres me trouvent ! Je suis aussi sur Insta.

Enfin, pour Noël, vous pouvez offir ces livres : « Ma Vie d’Expat : Destination Istanbul » (texte et illustration de moi, Editions Sandawe) et « Le Guide des 100 Expressions Culinaires à savourer » (texte de Jean-Loup Chiflet, illustrations de moi, Editions Le Figaro).

Bises et bonne semaine à tous ! Merci !!!!


5 décembre 2017

Une petite histoire de flexibilité

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Le voici, ce nouveau Blog ! C’est toujours Caro qui est aux commandes et aux crayons (pour ceux qui suivaient La Vie d’Expat en Dessins, vous n’avez pas raté la sortie et êtes toujours avec moi 😉 ) Pour les nouveaux, vous allez découvrir un moment de fun, c’est promis 😉

Après une année 2017 bien chargée (plein de nouveaux partenariats, des centaines de dessins, des illustrations pour Le Figaro…), je voulais clore le mois de décembre avec une nouvelle histoire !

Le concept reste le même : un article humoristique illustré – au rythme de production démoniaque de 2 par mois.

Alors, si on va quitter les thématiques expats, je reste toujours une maman/entrepreneuse/voyageuse, parfois totalement débordée, et même à certains moments un peu névrosée… C’est que c’est chaud de tout gérer, d’être une mère (im)parfaite qui travaille de chez elle, une amie présente qui habite à 3 000 bornes de chez vous, une nana dispo alors qu’elle se tape des journées de 15h (ben, oui, même si je dessine, et que ça parait fun, je suis comme vous, des fois, je trouve ça dur d’assurer sur tous les fronts)…

Surtout que là… c’est le mois de décembre.

Et décembre, ça peut vouloir dire « flocons de neige » (c’est féerique), ça veut certainement dire « Fêtes de fin d’année » (c’est magique), mais ça veut surtout dire méga-coup-de-stress pour préparer les cadeaux, folie irrépressible de chocolats et d’alcool (adieu la silhouette que t’a promise ton prof de Pilate), et gestion familiale dont tu es l’un des principaux – mais involontaire – rouages (ton mec t’a bien précisé : « Pour les dates des repas et les cadeaux des gosses, vois ça avec ma mère »).

Déjà que d’habitude, tu as un emploi du temps de Ministre (même si des fois, c’est Ministre du Caca, des Petits Poneys et des Devoirs), ce mois-ci, tu risques d’atteindre le burnout maternel, au point que la vue des boutiques de jouets pleines à craquer te donne des sueurs froides – mais à quoi ça sert, tout ce plastique rose fluo, putain !?

Alors moi, pour décompresser, j’ai trouvé une solution : le YOGA…

Tu sais, le truc que tu penserais jamais faire quand tu es jeune parce que ça bouge pas assez à ton goût, mais que tu es tout ravi de pratiquer quand tu vieillis et que ton corps mûrit plus vite que ton cerveau – tu as toujours 18 ans, dans ta tête, même si tes articulations te crient le contraire.

Comme ça, je suis zen, je suis en pleine conscience, je suis flexible… Je peux sauter de la préparation du petit dèj de mes filles à une conf-call par Skype avec un client, de l’achat des cadeaux de Noël à celui du PQ et yaourts à la fraise, de l’esquisse d’un dessin à une dissertation sur ceux de mes enfants (car il ne suffit plus que je leur dise que je kiffe leurs gribouillages, maintenant, il faut aussi que je leur explique POURQUOI).

Voilà, c’est ça, être une femme d’aujourd’hui… Surmenée mais vaillante, débordée mais attentive, présente sur tous les fronts. Flexible, je vous dis !

La femme flexible, même incomprise, fait face à l’adversité avec zénitude…

Je vous souhaite plein de courage pour ce mois de préparatifs et surtout une belle fin d’année ! 😉

Pour me suivre, please abonnez-vous à ma page Facebook et/ou inscrivez-vous à ma Newsletter.

A très vite !

 


Bonjour!
Je suis Caroline Gaujour, illustratrice & storyteller. Sur mon blog, je parle de ma vie de superwoman ordinaire ! Femme, maman, travailleuse, conjointe, difficile de tout équilibrer, et en fait, vous savez quoi ? C'est pas grave...
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